Villepreux-Les Andelys 140 ou 210 km, il fait chaud, on a soif !

Certaines études, très sérieuses, ont prouvé par A + B, qu’une petite bière est bénéfique pour le corps humain ; et principalement pour celui du cycliste. Ses bienfaits réhydratants, rafraichissants, reconstituants (et euphorisants ?) sont évidents. Et pourtant…

Mais gardons cela pour plus tard car pour le moment nous sommes le 26 mai 2018, sur la Villepreux-les-Andelys. Départ samedi matin à l’aube depuis Neuilly, en covoiturage ou en solo, pour rejoindre Villepreux. Et en voiture Simone ! ou plutôt Christiane, Chantal, Paul, Anna, Richard, Michel Patrick et Hervé. Et moi, logé depuis la veille déjà dans le Vexin je prendrai le train en marche lorsque je verrai les neuilléens passer devant chez moi. En fait je viendrai à leur rencontre à contre-sens jusqu’au moment où je croise Katia qui ne me voit (presque) pas, puis les autres quelques kilomètres derrière car partis en décalés.

Météo impeccable. Les orages de la nuit passée ont laissé quelques dégâts sur les routes. On doublera de nombreux cyclos ayant crevé. Classique dans ces cas-là, mais la journée s’annonce bien ensoleillée quand même. La ribambelle des cyclos est donc lancée. Plus de 450 personnes d’après un membre du vélo club des cyclos randonneurs de Villepreux. Une dorénavant classique de 140 ou 210 km pour le VCN.

Christiane et Chantal se mettent sur le 140. Le reste se prononce plutôt sur le 210. Le parcours nous envoie vers l’ouest du 78 pour remonter au nord de l’A13 qu’on traverse à Gargenville, c’est à dire à l’entrée du Vexin. Belle côte de 6 kms avec un pic à 9% sur le haut pour finir de réchauffer les muscles. Il y a des cyclos en enfilade sur toute la montée. Ou par 2 juste pour énerver les quelques voitures qui nous dépassent en klaxonnant joyeusement comme ils savent si bien le faire (sans doute pour nous dire bonjour ?! on ne saura jamais mais si l’on s’en réfère à notre expérience ou à « Envoyé Spécial » du 24 mai dernier https://www.france.tv/france-2/envoye-special/503541-emission-du-jeudi-24-mai-2018.html ces voitures ne sont pas encore toutes nos amies…).

Arrivés au sommet dans la forêt ça y est les paysages du Vexin sont bien là ; forêts, châteaux, vallées vertes et vallonnées. On file ainsi vers le premier arrêt du programme à Villiers-en-Arthies.

Ravito, petits gâteaux, eau, sirops, photos, lavabos, topo météo, et re-go !

Le trajet passe ensuite devant Villarceaux et son château, longe sans qu’on puisse le voir La Roche-Guyon, puis la Seine dans ce coin des impressionnistes à partir de Vernon. Un peu plus on aurait pu visiter Giverny ! Au fur et à mesure les pelotons s’écartent. Bientôt chaque peloton se transforme en microgroupes. Nous sommes seuls au monde sur ces belles routes. Katia en éclaireur. Paul Patrick et moi plus loin. Michel en solo, en métronome régulier. Hervé, Anna, Richard ferment la marche du VCN. La température monte, le ciel est toujours aussi dégagé, le rythme est de 25 de moyenne. C’est bien, on a vu pire on a vu mieux. La rando est tranquille et dommage ou tant mieux, rares sont les côtes abruptes. On en profite pour prendre quelques photos lors de traversées de superbes forêts. Ce genre de paysages ravit toujours Patrick qui baisse le rythme pour pouvoir savourer ces moments.

Puis 11h30 les hauts des Andelys surgissent. C’est la pause déjeuner. Des tables sont alignées à côté du stade. L’accueil est parfait. Plateau repas simple mais plutôt copieux. Une table se dégage. Patrick Paul moi-même puis toute la bande s’installe. On souffle… Nos voisins de table scrutent la météo et annoncent des orages pour 17h00. Sapristi ! Pourtant le soleil est toujours au beau fixe avec ceux qui se mettent de la crème, ceux qui gardent leur manches et ceux qui font les 2 comme Paul, on est a des lieux de penser qu’un orage puisse arriver. Bref, 45 minutes plus tard on est prêt à repartir si bien qu’une heure plus tard on repart (classique retard à l’allumage avec les gourdes à remplir, les protège cales à enlever, les pneus à vérifier, les casques à rechercher…).

Nous voilà donc tous repartis en file indienne sur la belle descente qui nous fait arriver au cœur des Andelys. Nous perdons Paul au passage qui sans GPS risquerait de se perdre (on ne sait jamais) ; il nous rejoint, les ruines du château des Andelys nous surveillent. On traverse la Seine, puis l’on circule sur une longue route de campagne encaissée et serpentant le long de la rivière. Photos. Appareil qui se casse la figure. Peu de dégâts espérons. Je repars.

Il reste 110 kms à faire. Quelques kms plus loin une superbe côte nous sépare les uns des autres même si on se regroupe au sommet. La digestion semble difficile, le groupe s’étire à nouveau. Puis le vent de face de plus en plus présent terminera le travail. Nous nous retrouvons à 4, Patrick Hervé Michel et moi laissant nos 3 amis du kiwiland derrière (ils n’aiment pas le vent là-bas ? sans doute !). Notre expérience des relais se perfectionne. Nous avançons et dans 20 km le dernier ravito sera là.

Mais avec ce vent il fait soif. Une bière serait la bienvenue… j’ose partager, proposer l’idée avec Patrick et Michel. Par expérience je me souviens d’un petit bar dans lequel nous nous étions arrêtés en 2016 qui nous offrirait cela bien volontiers… mais que nenni! le café arrive, il y a même un solide groupe de cyclos qui heureux comme un Pape s’y rafraîchit. Ils nous hèlent pour qu’on s’arrête mais d’une même voix Patrick et Michel préfèrent avancer « il ne reste que 10 kms avant le ravito », « j’aimerais bien arriver avant l’orage » etc etc. Bref, j’en connais 2 qui me doivent désormais une bière… Au moins !

On continue donc sans même poser une cale à terre. Et ça dépote alors. Jusqu’à Beynes où quelques gouttes tombent… gouttes qui dureront 1 km maximum. C’est le moment que j’avais repéré pour me séparer du groupe. Je rentre dans le Vexin, je repasse pour la seconde fois via l’ascension de Gargenville à 9%. J’aurai au final fait 200 km tout rond contre 210 pour les autres ; ou 140 pour Christiane et Chantal.

A l’arrivée il y avait une loterie. Christiane a gagné un bidon. Et moi une chambre à air !

Mais Ah cette bière… j’en ai encore soif…

Une bien belle rando tranquille et bucolique. À remettre au programme 2019.

Les stats : 200 km 1800 m 24,8 de moyenne

Le parcours: https://www.strava.com/activities/1597487938

The relive : https://www.relive.cc/view/1597487938

Y’a des jours comme ça… CC05 Paris-Amiens

Avec la traversée des Pyrénées en juin, il faut rouler, donc tant pis pour la fatigue accumulée pendant la semaine, ce matin pour moi c’était debout à 6h30 pour rejoindre à 7h30 le groupe 27-30 km/h du Classics Challenge de mai : Paris-Amiens.

Seulement voilà, y’a des jours où quand on gonfle ses pneus avant de partir on entend le sifflement caractéristique du pneu qui vous nargue… le tubeless c’est bien mais parfois on peut rentrer avec une crevaison lente qui se répare toute seule à basse pression mais se réveille à 6 bars et demi ! Pour ne rien arranger plus le pneu est sec : une dose de préventif en urgence, une mèche et c’est parti ! Le groupe de 7h30 c’est peut-être compromis mais c’est toujours bon pour celui de 7h45 à 25-27 km/h.

Mais forcément y’a des jours où la mèche elle ne tient pas ! Du coup arrêt sur le quai du tram, montage d’une chambre à air et on repart. Mais cette fois-ci, pour la première fois depuis que je fais du vélo, le pneu ne se remet pas bien en place : roue voilée, c’est comme si on roulait sur de la tôle ondulée. Nouvel arrêt on dégonfle un peu le pneu, on regonfle, ça va pas beaucoup mieux mais il n’y a plus de temps de finasser : le groupe de 8h à 23-35 km/h ça va être juste maintenant ! En effet j’arrive au Kilomètre 0 alors que tout le monde est déjà parti. Heureusement ce n’est pas très difficile de rattraper un gros groupe en ville, à Asnières la jonction est faite et j’ai le plaisir de retrouver dans le peloton 3 riders du VCN : Loné, Jean-Michel et Étienne qui se demandaient bien où j’étais passé, ne m’ayant pas vu au départ où certains sont arrivés tôt…

Enfin le peloton de plusieurs dizaine de personnes sort de la ville : nous  voici plongé dans le Vexin, porte de la Normandie, à la découverte de parties encore inexplorées et carrément magiques (vous me croirez sur parole trop occupé à  regarder je n’ai pas pris de photos).

Sur la route on fait connaissance avec les autres membres du peloton qui commence à sérieusement s’étaler au fil des bosses et des crevaisons, même si on s’arrête assez régulièrement pour se regrouper. Du coup de plus petits groupes se forment, et finalement après la pause boulangerie à Amblainville les 4 cavaliers du VCN qui ont été rejoints par Karine who can do it!, un Rider de Merde qui

Karine who can do it!

porte fièrement son maillot (oui ça existe vraiment, rappelez-vous, on les avais vus sur le Levallois-Cabourg) et d’autres rencontrés en chemin, dont deux tri-athlètes qui ont lâché leur compagnons parce qu’ils ne roulaient pas assez vite pour elles ! Au final nous seront neuf à l’arrivée et nous rouleront à un bon rythme pendant tout le reste du trajet. Jean-Michel peine un peu (comme il le dit lui-même il aurait dû rouler un peu plus avant), Loné grimpe très bien un peu grace à sa nouvelle cassette à 32 dents et s’envole dans les portions plates, Karine who can really do it!  discute tranquillement dans les côtes où tout les autres  monde soufflent.

Après une deuxième pose un peu avant 13h dans une boulangerie dévalisée (vous auriez du nous prévenir, ça défile depuis ce matin !) et une épicerie/bar à côté ou c’est à peine mieux mais où les gens sont vraiment très sympas, nous voilà repartis. Mais un peu plus loin certains comment à manquer d’eau (dommage à l’épicerie ils remplissaient les bidons) alors qu’il fait de plus en plus chaud : les nuages ont fait depuis longtemps place au soleil et mon compteur annonce 31° C.  Presque au même moment, Karine, auprès de laquelle je me suis vanté plus tôt de mes talent de mécanicien participatif m’annonce qu’elle ne peu plus passer ses vitesses à l’arrière : le dérailleur reste bloqué sur le petit pignon alors qu’il nous reste encore 60 km à faire et quelques bosses. Un rapide examen visuel en roulant ne donnant rien on s’arrête un peu plus loins pendant que d’autres se mettent en quête d’eau dans le cimetière voisin.

Mais y’a des jours comme ça : il n’y a pas d’eau au cimetière et le câble de dérailleur est cassé à l’intérieur du cadre, il pendouille même après mes manipulations et la pince coupante Leatherman du rider de merde ne veut rien couper (il avait aussi un câble de rechange, peut-être pour dérailleur mais pas sûr, seulement sur le bord de la route avec des passages internes on n’a pas tenté), c’est pas grave, on enroule le câble autour du dérailleur et on repart.  Mais Étienne qui revient du cimetière a une bonne idée : utilisons les butés pour remonter de quelques pignons, ça sera toujours mieux que rien. Aussitôt dit aussi fait avec l’œil précis d’Étienne qui contrôle l’alignement et moi qui joue du tournevis on gagne un pignon qui permettra à Karine d’aller jusqu’au bout !

Nous voilà repartis et dans le village suivant on trouvera un cimetière et un robinet : cette fois-ci tout le monde en profile pour se rafraîchir mais malgré tout la fatigue commence à se faire sentir et le vent d’est à 20 km/h nous gêne dès qu’on se tourne un peu vers lui, mais tout le monde s’accroche et on avale les kilomètres alors qu’on sait que la délivrance est proche : les derniers 30 km sont en légères pente descendante jusqu’à Amiens. Du coup une fois passés la dernière bosse on accélère et on file vers la Cathédrale à 28-32 km/h.

Enfin l’arrivée ! Après une pause photo devant le monument on file retrouver d’autres cyclos au Loft boire la bière bien fraîche, dont on avait tant parlé sur le parcours (il avaient même de la Delirium Tremens en pression ! 🍻), avant de profiter d’un repos bien mérité dans le train pour Paris, où le contrôleur nous a répartis de manière à ce qu’on puise ranger facilement tous nos vélos.

Y’a des jours comme ça, où tout ne se passe pas exactement comme prévu, où on pense plusieurs fois à faire demi-tour et à rentrer se coucher, mais ou au final on passe une superbe journée sur le vélo, on rencontre des gens vraiment très sympas et solidaires, et ou finalement ont rentre chez soit rompu mais le sourire aux lèvres…

Sur Strava avec plus de photos: https://www.strava.com/activities/1597212236

Rallye des Asperges 20 mai 2018

Encore une belle représentation du VCN pour le rallye des Asperges du dimanche 20 mai. En effet nous nous retrouvâmes à 18 au départ d’Argenteuil dont trois  nouveaux membres, Frédéric D., Dominique D. et Fabrice C.  plus un invité de marque en la personne de Pascal M.

Répartition en fonction des distances : 4 sur le 55 km, 7 sur le 70km, 6 sur le 95 km et 1 sur le 125km.

Patrick C et Paul J. partis tous les deux comme des arbalètes, tout le reste du groupe resta bien groupé les premiers kilomètres. Après la première difficulté au km 10  la monté de la cote de Monlignon en forêt de Montmorency, les écarts se sont rapidement creusés.

En avançant dans la matinée, chacun a  réalisé son objectif de parcours et d‘allure.

Pas vraiment de grosse difficulté si ce n’est la montée entre Viarmes et  Saint Martin du Tertre avec quelques segments entre 9% et 13%, cela nous laisse le loisir de profiter du beau paysage de sous-bois sur une route quasiment pas empruntée par les voitures.

Au retour à Argenteuil, un grand nombre d’entre nous ont eu le plaisir de se retrouver pour un dernier verre et sandwich offert par l’UVA

Au total 185 participants au départ d’Argenteuil

Sur cette photo prise au dernier ravitaillement, deux de nos nouveaux adhérents : Dominique (à gauche, tenue bleue) et Frédéric (à droite, tenue noire)

Parcours du 95 km de Patrick C. : https://www.strava.com/activities/1585090511

Sortie Club du dimanche 13 mai

Frédéric, nouveau au club espérons bientôt, nous a accompagné ce matin.

Avec Thierry V, Stéphane G, Michel B, Alexander et moi-même pendant que le gros des troupes parcourait les monts et les vaux des Ardennes… et d’autre les sommets andalous.

Départ 7h30 depuis la mairie sans Miss Lisbeth souffrante, sans la pluie qui a fait une timide apparition et avec 2 GPS parmi nous ; Ouf !

Ouf ! car Stéphane et moi avons profité des méandres de Toussus-le-Noble pour perdre, involontairement quand même, nos 4 compères.

Parcours dérivé du CC02 Paris Chartres donc très sympathique pour sortir de Paris. Avec des variantes en tous genres :

On part vers Suresnes mais au lieu de monter vers le golf on file tout droit pour traverser St-Cloud et faire chauffer les muscles dans la montée du Parc de St-Cloud.

On continue à faire chauffer les muscles en repartant de plus belle à travers Ville-d’Avray sur la raide piste cyclable.

Pause avant Versailles pour noter svp les statues de Pershing et Lafayette, n’est-ce pas Alexander ?

Traversée royale de Versailles mais au lieu d’en sortir par les minières on se prend en direct un très beau casse pattes avant Buc qu’on traversera gentiment

Puis descente de Chateaufort debouts sur les freins mais c’est en descente donc no pain !

Puis ensuite à nous Cheuvreuse via Boullay-les-Troux (très joli), la Celle-les-Bordes (très joli), Bullion (très joli) et Clairefontaine (très …), en forêt de Rambouillet.

Pour le retour on ne pouvait pas éviter les 17 tournants. Ni Dampierre où les 2 pelotons se sont retrouvés pour un café Perrier Coca avant de repartir bille en tête.

Bille en tête car à 12h30, à la maison, il fallait être…

Donc on a fait des relais en permanence ; c’était chouette…

Superbe sortie.

Circuit à mettre sur le site pour le refaire à plusieurs.

Peloton 1 :  110 kms 1100m de dénivelé

https://www.strava.com/activities/1568944224

https://www.relive.cc/view/1568944224

Peloton 2:  90 kms 920m 22 kmh

https://www.relive.cc/view/1569085664

PS: Sur le deuxième relive un sympathique effet permet de voir les 2 pelotons en même temps.

Bon dimanche.

Randonnée des Pommes de Terre 2018

Le Vélo Club de Neuilly Section Cyclotourisme

Vous invite à sa Randonnée des Pommes de Terre.

Dimanche 10 juin 2018

Parcours fléchés avec ravitaillements comptant pour le challenge du CODEP 92.

Départ : Stade Monclar, 55 Boulevard du Parc, 92200 Neuilly-sur-Seine

Arrivée jusqu’à 14h avec remise de coupes, lots, boissons et collations et un sac de cadeaux offert par notre partenaire

Inscriptions sur place :

Licenciés FFCT : 4€ (gratuit pour les moins de 18 ans)

Non licenciés : 6€ (1€ pour les moins de 18 ans)

Cyclo-découverte : 2€

Cyclo-découverte encadrée de 25 km, départ à 9h30 précises
Parcours Fléchés de 67, 94 et 116 km, départ de 7h30 à 9h30 :

Parcours au format GPX

67 km

94 km

116 km

Affiche

Sortie Club du 6 mai découverte des 3 parcours de notre randonnée

Que de monde ce dimanche 6 mai à la mairie de Neuilly.

24 VCN presque tous dans notre belle tenue bleue, il faut dire qu’il faisait très beau et que le programme était alléchant : tester les trois parcours de la randonnée du 10 juin.

Assez rapidement deux groupes se sont formés en fonction des allures.  Voir le détail des participants en fin de compte rendu.

À Sainte-Gemme, le groupe parti en tête fut rattrapé par le reste des participants, arrêt pour crevaison.

Après Sainte-Gemme certains sont rentrés pour boucler le parcours de 67 km, les autres ont attaqué la route des radars, vent léger de dos. Malgré mes 32 km/h j’étais beau dernier ça roule fort au VCN !

Avant d’arriver à Maule, certains ont pris la descente vers Crespières pour boucler le 94 km.

Le groupe des 9 qui ont bouclé le 116 km se sont régalés tant le parcours est magnifique, deux belles petites bosses à 16 %, des traversées de champs de colza.

Il va vraiment falloir promouvoir ce nouveau tronçon que nous proposons le 10 juin.

Merci Anna Et Richard de nous avoir concocté ce bijou !!!

https://www.strava.com/activities/1553235810

Relive du 116 km : https://www.relive.cc/view/1553235810

Groupe 67 km : Michel M, Philippe A, Patrick C, Marie D, Chantal R, Jean Louis R, Lisbeth R, Christiane S et Thierry W, Éric M, David P-K

Groupe 94 km : Alexandre B, Olivier H

Groupe 116 km :  Anna V, Richard V, Jean Michel M, Paul J, Arnaud D, Thibault R, Loné M, Jean-Jacques S, Michel B

Hors parcours ou raccourcis : Philippe B, Nicolas L

Tour de l’Essonne 6 mai

Lorsque nous nous sommes retrouvés ce matin peu après 7h avec Katia, Stéphane était déjà parti pour être de retour en tout début d’après-midi à une allure qui de toute façon n’était pas la notre. Steve, quand à lui, était calé sur un autre horaire et nous ne l’avons pas croisé.

Le tour de l’Essonne est une boucle vélo qui part de Longjumeau et qui suit les limites intérieures du département en passant par les vallées de l’Orge, de l’Ecole, de l’Essonne, la Juine, la Marette, la Chalouette,  la Louette, la Rémarde,  tout en longeant le Val de Marne, la Seine et Marne, le Loiret et l’Eure et Loire. C’est une « classique » pour les clubs cyclistes de l’Essonne et des alentours.

Le CLT avait bien préparé sa sortie, preuve d’un circuit bien rôdé, avec le tracé du parcours disponible en GPX, un fléchage bien identifiable et une feuille de route très détaillée.

Nous voilà donc partis pour le circuit de 168,5 km, plein sud pour nous retrouver assez rapidement dans la vallée de l’Orge puis pour alterner les zones tantôt pavillonnaires, tantôt  rurales de l’Essonne et nous approcher de Milly-la-Forêt mais en bifurquant avant car ce haut lieu touristique du Gâtinais est situé en Seine-et-Marne, donc hors circuit. Jusque-là, le relief présente quelques bosses, mais rien de très sérieux, à l’exception de la montée finale de Moigny-sur-École, dernier effort avant le premier ravitaillement à l’entrée d’une déchèterie é-co-lo-gique qui avait mis ses toilettes sèches à disposition des cyclistes.

Petit ravito, le tampon sur la carte, une photo pour le WhatsApp du VCN, on retire une couche et ça repart aussi sec, cette fois-ci pour approcher les plaines de Beauce en longeant le nord du Loiret, au milieu des jeunes pousses de betteraves et des colzas encore en fleur. Cette traversée vers l’ouest nous emmène rapidement vers la rive occidentale où l’on trouve en premier la Juine et ses cressonnières. Puis ça a été une succession de parcours très agréables en fond de vallées sous la voute de grands arbres. Sauf, que pour rejoindre les différentes vallées, il fallait à chaque fois remonter sur un plateau, ce qui a presque affolé le compteur du dénivelé positif, surtout vers la fin.

On n’a pas fait la photo au deuxième ravito car on l’a tout simplement loupé ! Il était en bas d’une descente et on n’a pas fait attention. Faut dire qu’on avait la tête dans le guidon ! On a fait notre deuxième pause 5 km plus loin pour manger nos réserves et récupérer un peu. Par la suite, on a appris que l’organisation avait mis des plateau repas à disposition des randonneurs au deuxième ravito. Quelle frustration d’avoir loupé ça !

C’est dans la dernière partie qu’on a trouvé les dénivelés les plus accentués et une fois sur les plateaux, on retrouvait le vent d’est le plus souvent de face pour revenir au point de départ.

En conclusion, c’était une très belle balade à vélo au cours de laquelle on traverse de très beaux villages et paysages, sauf que c’est une boucle et qu’à la fin, il n’y a ni blanquette et ni train.

La page de la randonnée sur le site du CLT : http://www.ctlongjumeau.fr/index.php/tour-de-l-essonne

Notre parcours sur Strava : https://www.strava.com/activities/1553459612

Sortie club du 1er mai

Malgré la météo cauchemardesque d’hier, notre groupe matinal  composé de Nicolas L., Paul, Arnaud et moi-même (hélas sans Lisbeth malmenée par son réveil) a pu profité d’un temps vraiment clément! même si  légèrement  frais au début.

Quant à notre décision de choisir le parcours 002 du calendrier VCN, celle ci a été plutôt motivée par un kilométrage ne dépassant pas les 70 kms et d’un commun accord sur l’itinéraire, juste rajouté par la cote de Chateaufort. Au cours de notre progression nous avions décidé de faire une petite pause café, mais sans succès et après une quarantaine de kilomètres, c’est en voulant forcer l’allure que les incidents ont commencé !

Paul,  pour commencer nous a fait une magnifique glissade, (digne d’un tacle de joueur foot sur une pelouse bien arrosée) surpris par la raideur d’un virage sur une piste cyclable !! (les pistes cyclables ne sont pas adaptées à la puissance de certains champions de notre club) et pour finir sur cette piste cyclable;

Nicolas a crevé  (oui avec un continental 4 saisons !) donc après une réparation éclaire, notre team plus fort que jamais ! est reparti de l’avant et a  trouvé seulement à Bievres un café terrasse ! ouf, oui bien mérité.

Pour le retour nous voulions absolument rentrer par « l’ homme mort  » et  grâce au concours de Paul, nous avons pu après une légère improvisation emprunter cette cote, suivie  d’un retour bien connu par nous tous.

Loné M.

https://www.strava.com/activities/1542507938