Début de saison

Samedi 22 mars  à Airaine dans la Somme, beau circuit avec un belle bosse après l’arrivée, je  finis  dans le peloton.

Dimanche 23 mars Beauvraigne toujours dans la Somme, circuit tout plat entre village, champs,  bouche d’égout et ornières.  Après  4  tours  alors que je venais de sortit  du peloton je  crève, ou  plutôt  je  pince la chambre dans un trou .

Samedi 30 mars  à Remiencourt (Somme), beau circuit avec un talus après l’arrivée  et  surtout du vent !  Record  au départ avec 66 coureurs. Ça  finit  au  sprint en peloton  je  me classe 38éme.

Dimanche 31 mars dans le Val d’Oise, beau  circuit  avec un peu de vent  et une partie technique sur la piste cyclable. 50 coureurs  dont deux VCN, Julien et moi.  Malgré un mauvais lancement au départ  j’arrive à remonter rapidement  et partir en échappée à trois d’abord puis à quatre et dans le deuxième tour quelques autres rentrent et bref on devait être une quinzaine ; on reprend quelque coureurs de tête lâchés et on est repris à la cloche. Je  finis 33éme……

Ma première course

Francois avec son frère et Gilles

Évidement, je me suis fait avoir comme un bleu dès le départ, sinon ça n’aurait pas été drôle ! Pour la 3e catégorie le quota c’était 7 tours de 9 km. Le parcours de la course de Baillet (qui ne passait pas à Baillet d’ailleurs…) était vraiment sympa, roulant et un chouïa vallonné. La météo était presque parfaite, juste le vent en trop et quand on roule seul (j’y reviendrai juste après), c’est vraiment pénalisant ! Le peloton était vraiment très fourni, je ne sais pas combien nous étions mais plusieurs dizaines au moins (60, 70 ou 80 ? Je n’ai pas le chiffre). J’étais positionné quasiment dans les derniers au départ et à peine parti j’ai été distancé. Le temps de mettre en place mon capteur cardio que je n’avais pas bien installé et de clipser les pédales, les mecs étaient déjà à 100 m ! Et puis, début de saison oblige, les mecs ont tout donné dès le début pour rouler à 40-45km/h et faire exploser le plus de monde possible. Je n’ai jamais réussi à les rejoindre, même à 40 km/h je les voyais gratter des mètres et des mètres. Frustrant, surtout que j’étais en jambe malgré mon 10 km du matin à Paris ! Et là je me suis dis que la course allait être très longue tout seul, sauf si j’abandonnais, lol. Mais comme c’est interdit d’abandonner dès le début, j’ai pédalé à bloc tout du long pour essayer de les raccrocher. Mais avec le vent, impossible de reprendre le moindre mètre ; après 2 tours, j’ai laissé tombé (ils étaient à 400-500 m devant) et j’ai rejoins quelques gars qui étaient décrochés aussi, mais ça ne roulait pas… J’ai continué tout seul pendant encore 1 tour avant d’être rejoint par la 4ème catégorie. À partir de là tout allait beaucoup mieux, forcément, en fond de peloton à se laisser tirer à 35-36 km/h sans forcer, c’est beaucoup plus simple. J’ai évidemment fini avec eux sauf qu’après leur arrivée, il me restait un tour à faire… Celui là a été long, car se retrouver à nouveau seul n’était pas facile à cause du vent !! Et je commençais sérieusement à accuser le coup aussi !!
Au final, il y a eu plusieurs chutes devant moi, j’ai été épargné, ça aide en même temps quand on roule seul 😁😁.
Donc l’essentiel était là, pas de pépins physiques, pas de pépins mécaniques ni de chute !

J’ai appris beaucoup avec cette course. J’essayerai de ne pas me faire avoir au départ de la prochaine, promis !!
Au final, 63 km en 1h49. Je sais pas du tout en combien de temps se gagne la course en 3e catégorie. Si quelqu’un a la réponse, je suis preneur 😁.

Désolé pour ce roman, promis je ferai plus court la prochaine fois, mais pour ma toute 1 ère, je vous devais bien ça !

Et Merci au VCN ! 😊

 

A nous les petites dreusiennes alias #CC09 Paris-Dreux le 13 octobre

J’ai remarqué depuis que je pratique le cyclisme que plus qu’une passion, celui-ci constitue un échappatoire pour la majorité des pratiquants.

Les motivations sont diverses mais je soupçonne que la motivation principale réside dans la fugue du foyer conjugal (humour).

L’occasion était donc toute trouvée pour les membres du VCN de justifier d’une absence all day long auprès de son conjoint.

Pour les autres, ceux qui croient encore un peu à l’amour et au sens des responsabilités (2 membres du VCN : Arnaud et votre serviteur) rendez-vous était donné à 6h30 au palais des congrès pour entamer le parcours et être rentré pour déjeuner, et accessoirement pour assister à la victoire de Thibault Pinot dans le dernier monument de la saison. Premier bon prono de la saison pour bibi, il était temps.

Bref, loupiottes, coupe-vent du VCN et départ à finalement 6h45 sur les routes éclairées de la capitale.

Après la cote du « père lapin », et escamotage de la descente de « web Pizza » (placement de produit), le premier passage en forêt a commencé à entamer nos forces mentales : malgré nos lumières, la navigation était difficile et nous avons été à nombreuses reprises secoués par les ralentisseurs.

Heureusement, Arnaud alias « biloute » pour les chti, ou « chivas » pour les espagnoles (vous comprendrez qu’ils se sont bien trompés plus loin) avait prévu sa super lumière avant pour nous sauver un peu la mise.

Après 2h30 de route, et après le lever du soleil, la vallée de Chevreuse nous ennuyait : quelle idée de se retrouver à cet endroit après déjà presque 3h d’effort alors qu’en empruntant des chemins de traverses, l’affaire aurait été entendue en 1h30. Le poids de l’histoire allait-il finalement ranimer nos ambitions ?

Enfin nous sortons de nos terrains habituels d’entrainement, et cela passe par un petit chemin dans les bois, sorte de sas de décompression avec à nos pieds les feuilles mortes témoignant d’un automne qui peine à s’installer.

En fait ce n’est pas Paris – Dreux mais Paris – Tours la classique des feuilles mortes.

En parlant de morts d’ailleurs, nous avons rencontré quelques personnes avec des gilets oranges, visiblement une organisation de voisins vigilent avec comme idée de maitriser la faune résidant dans le bois.

Super idée des organisateurs d’ailleurs de nous faire passer au milieu de la battue de sangliers. On apprendra d’ailleurs que dans le même temps, l’un de nos ami cycliste avait été pris pour un lapin, un vttiste anglais amoureux de la France.

Pour tout avouer, j’avais très envie de vite sortir de cette piste gravel jusqu’à ce que Chivas me fasse le coup de la panne…enfin de la crevaison.

A peine le temps de me retourner que je comprends que les ibères ont confondu Chivas et la déesse Shiva.

Shiva était déjà en train de sortir de sa sacoche de selle une petite paire de gant en latex pour réparer sa crevaison … 20 minutes très longue à essayer de survivre au milieu de la partie de chasse.

Nous repartons puis sommes doublés par une bande de hipster habillés en rafa, certain avec des vestes sans manches km0.  Pas de doute, nous ne somme plus les éclaireurs de ce Paris – Dreux.

La faim se fait ressentir et nous nous arretons dans la première ville venue pour faire connaissance avec la boulangère et la tenancière du bar PMU du coin.

Nous avons déjà dépassé notre horaire d’arrivée alors qu’il reste encore 40 km à parcourir. Nous rencontrons un groupe de cyclotouristes qui acceptent de nous tracter jusqu’à l’arrivée avec une bonne moyenne : 30 km/h. Nous aurons le mérite d’avoir bien terminés.

Arrivée à la gare de Dreux, Biloute souhaite sympathiser avec les locaux, en fait nous ne trouverons que quelques cyclistes accoudés au bar.

Ni une ni deux, Biloute siffle une peinte cul sec, si seulement il avait été aussi prompt à me relayer nous aurions pu voir l’arrivée du Il Lombardia.

Dans mes pensées, et en contemplant un « finisher » qui nous avait de peu devancé, je me dit que le maillot vert du team europcar était sacrément beau…

Perdu dans cette nostalgie nous prenons le train et discutons matos jusqu’à la gare Montparnasse, ou un petit jeu de saute barrière nous attendait encore.

To be continued

Le tracé :  https://www.strava.com/activities/1901848565

Retour sur séjour FFCT en Italie

Une semaine en TRENTIN

Le Codep de Corrèze, familier de l’Italie et avec qui j’avais découvert la Ligurie et le Lac de Garde, organisait un séjour FFCT du 27 mai au 3 juin à Levico Terme, dans un hôtel agréable au bord du lac.

Jolie station non loin de TRENTE, dans une région de l’ex Tyrol Autrichien, à moins de 100 km au SO des Dolomites et moins de 100 km au N de Vérone.

Les vallées fertiles et ensoleillées abondent en vignes et vergers, les vignerons de la région n’ignorant rien du pétillant (si Concile, y a bulles). Elles séparent des petits massifs assez pentus, avec de nombreux pics de 2000 à 3000 m.

Nous nous retrouvâmes à cinquante, la majorité en provenance du sud de la France, ne serait-ce que pour une question de distance, Paris étant à 1100 km.

On s’est réparti entre petit parcours (moyenne d’environ 70 km et 1300 m de dénivelée) pour un petit tiers du groupe, et les autres sur le grand parcours (environ 95 km et 1900 m de dénivelée).

Les amateurs du petit parcours ont apprécié quelques cols dans les 1400 m : Redebus, Sommo, Vezzena… Sans parler de certains passages relevés allant chatouiller les 13 % en descente sur voie étroite, et même parfois en montée, où l’on croise aussi bien des VTT germaniques que des essayeurs de Ferrari.

Temps super toute la semaine, en concédant des menaces orageuses systématiques l’après-midi ; concrétisées une seule fois, où j’ai dû finir l’ascension 1 heure sous l’anorak, le compteur au ralenti.

Bon rodage des petits braquets.

Randonnée des Pommes de Terre 2018

Le Vélo Club de Neuilly Section Cyclotourisme

Vous invite à sa Randonnée des Pommes de Terre.

Dimanche 10 juin 2018

Parcours fléchés avec ravitaillements comptant pour le challenge du CODEP 92.

Départ : Stade Monclar, 55 Boulevard du Parc, 92200 Neuilly-sur-Seine

Arrivée jusqu’à 14h avec remise de coupes, lots, boissons et collations et un sac de cadeaux offert par notre partenaire

Inscriptions sur place :

Licenciés FFCT : 4€ (gratuit pour les moins de 18 ans)

Non licenciés : 6€ (1€ pour les moins de 18 ans)

Cyclo-découverte : 2€

Cyclo-découverte encadrée de 25 km, départ à 9h30 précises
Parcours Fléchés de 67, 94 et 116 km, départ de 7h30 à 9h30 :

Parcours au format GPX

67 km

94 km

116 km

Affiche

Tour de l’Essonne 6 mai

Lorsque nous nous sommes retrouvés ce matin peu après 7h avec Katia, Stéphane était déjà parti pour être de retour en tout début d’après-midi à une allure qui de toute façon n’était pas la notre. Steve, quand à lui, était calé sur un autre horaire et nous ne l’avons pas croisé.

Le tour de l’Essonne est une boucle vélo qui part de Longjumeau et qui suit les limites intérieures du département en passant par les vallées de l’Orge, de l’Ecole, de l’Essonne, la Juine, la Marette, la Chalouette,  la Louette, la Rémarde,  tout en longeant le Val de Marne, la Seine et Marne, le Loiret et l’Eure et Loire. C’est une « classique » pour les clubs cyclistes de l’Essonne et des alentours.

Le CLT avait bien préparé sa sortie, preuve d’un circuit bien rôdé, avec le tracé du parcours disponible en GPX, un fléchage bien identifiable et une feuille de route très détaillée.

Nous voilà donc partis pour le circuit de 168,5 km, plein sud pour nous retrouver assez rapidement dans la vallée de l’Orge puis pour alterner les zones tantôt pavillonnaires, tantôt  rurales de l’Essonne et nous approcher de Milly-la-Forêt mais en bifurquant avant car ce haut lieu touristique du Gâtinais est situé en Seine-et-Marne, donc hors circuit. Jusque-là, le relief présente quelques bosses, mais rien de très sérieux, à l’exception de la montée finale de Moigny-sur-École, dernier effort avant le premier ravitaillement à l’entrée d’une déchèterie é-co-lo-gique qui avait mis ses toilettes sèches à disposition des cyclistes.

Petit ravito, le tampon sur la carte, une photo pour le WhatsApp du VCN, on retire une couche et ça repart aussi sec, cette fois-ci pour approcher les plaines de Beauce en longeant le nord du Loiret, au milieu des jeunes pousses de betteraves et des colzas encore en fleur. Cette traversée vers l’ouest nous emmène rapidement vers la rive occidentale où l’on trouve en premier la Juine et ses cressonnières. Puis ça a été une succession de parcours très agréables en fond de vallées sous la voute de grands arbres. Sauf, que pour rejoindre les différentes vallées, il fallait à chaque fois remonter sur un plateau, ce qui a presque affolé le compteur du dénivelé positif, surtout vers la fin.

On n’a pas fait la photo au deuxième ravito car on l’a tout simplement loupé ! Il était en bas d’une descente et on n’a pas fait attention. Faut dire qu’on avait la tête dans le guidon ! On a fait notre deuxième pause 5 km plus loin pour manger nos réserves et récupérer un peu. Par la suite, on a appris que l’organisation avait mis des plateau repas à disposition des randonneurs au deuxième ravito. Quelle frustration d’avoir loupé ça !

C’est dans la dernière partie qu’on a trouvé les dénivelés les plus accentués et une fois sur les plateaux, on retrouvait le vent d’est le plus souvent de face pour revenir au point de départ.

En conclusion, c’était une très belle balade à vélo au cours de laquelle on traverse de très beaux villages et paysages, sauf que c’est une boucle et qu’à la fin, il n’y a ni blanquette et ni train.

La page de la randonnée sur le site du CLT : http://www.ctlongjumeau.fr/index.php/tour-de-l-essonne

Notre parcours sur Strava : https://www.strava.com/activities/1553459612

Victoire de Grégory Gadou au Châtenet-en-Dognon

Victoire de Grégory Gadou au Châtenet-en-Dognon dans le Limousin :

Une soixantaine de coursiers au départ, en 3ème catégorie, nous sommes partis pour 57 bornes sur un terrain vallonné.
Ça a roulé fort. Nous avons repris les 2ème catégorie partis devant nous.
Une arrivée au sprint à une vingtaine : j’arrive à me placer et à gagner.